Chuck, épisode 2.Y'a d'la référence musicale de foldingue ! Les Ramones ! Un bon Jack-Punk comme j'aime ! Y'en a du Ramones, dans ma compil'-bouse, si vous êtes curieux.
Et pis ils se battent bien les toquards ! Ha ouais ! Y'a un esprit Krav-Maga dans leurs combats-pas-du-tout-surjoués ! Et ça, on aime bien aussi, Jack et moi. Surtout quand c'est une blonde à faire pâlir Obama qui s'amuse à lancer des cure-dents comme des poignards à la Danny Trejo, aka Navajas, dans Desperado ! So sexy quoi.
D'emblée, j'dirais que c'est du bon Jack-Punk absurde cette série. Dans cet épisode 2, y'avait même une course-poursuite de folie, entre Chuck et Casey. Ca valait tout juste un Jours de tonnerre, sorti en 1990 ce film avec l'aut' scientologue et la grande perche dont la traduction littérale de son nom est Gosse-Homme. Avec un nom comme ça, y'a forcément un truc louche aussi. Et là j'fais ma science infuse grâce à Allocine.
C'est qu'on va essayer de dépasser le niveau zéro de la critique cinématographique sur ce blog ! Alors accrochez-vous, bande-de-mollusques-avachis-devant-l'ORTF !
Dès les premières secondes (parce que c'était mon dépucelage chuckien là, à l'instant), on s'est dit que les doublages, hé bin c'est vraiment barbare. Les versions en langues étrangères traduites en français, bin le résultat, au final, bien souvent, c'est digne d'un Hélène et les garçons. C'est d'une profondeur de dialogues abyssale. Je milite pour que l'ORTF se mette à la Vostf ! Et tant pis si nos aîeux, du fin fond de leurs maisons de retraites, lobotomisés à coup de Derrick, grognent édentés et crient Gniiiiiii Gniiiiii !, pour cause de dentier baignant dans le verre à dent.
Guerre des polices sauce-rance-qu'est-bonne
NSA, CIA... Chuck, c'est la guerre des polices à la Olivier Marchal, mais version Mister Bean. Y'a même des gadgets dingo-loufoques, comme cet incinérateur-dans-un-téléphone-qui-fait-péter-des-voitures. On sent la patte du Docteur Q Jamesbondien ! Enfin j'crois que c'est comme ça qu'il s'appelle l'aut' foldingue qu'invente toutes sortes d'objets autant bizarroîdes que puissants. Si on creuse vraiment profond, y'a un zeste de James Bond à la Mozinor là-dedans.
C'est un classique, çui-là. On aime bien Mozinor Jack et moi.
D'ailleurs, le coup de la seringue pistolisée dans le badge de Chuck, hé bin c'est piqué à un épisode de MacGyver où Mac, il se prend une balle dans son rêve, et la balle, bin elle est arrêtée par son opinel qu'est dans sa poche de chemise. Et toc. Putain de référence hin !
Ca parle aussi de polonium quelque part, cet épisode de Chuck, à cause des desserts empoisonnés. Ca annonce une ribambelle de guerres bactériologiques tout ça. Ca promet.
Y'avait un côté Un air de famille, ou Le diner de cons, au choix, dans ce repas où Chuck présente sa nouvelle cops' à ses potes. Cette série s'annonce burlesque. C'est du lourd, du bien lourd...
J'ai accroché pas mal sur la bande-son. Et m'en fous si j'suis le seul ! Elles étaient sympatoches, ces tablâs. C'est rythmé, c'est fait pour tenir un peu en haleine. Et ça, c'est cool, parce qu'on en a besoin !
SuperBimbo Vs SuperMan
Sarah Walker... ouaillaïlle ! Un portrait Jack-déjanté à venir... Pas un poil sous les d'ssous de bras, ça laisse rêveur ! Son costume est merveilleux, dans sa p'tite boutique. Et c'est une pro des saucisses. Détail qui a son importance, tout de même ! Et puis la Sarah, c'est "Agent Walker". Chuck Norris avec des seins. C'est bon ça aussi ! Comme la bande-son, ça incite à rester en haleine. Et comme on a dit, on en a besoin. Y'a des avantages à cette série !
John Casey... L'est énorme lui. Et pis c'est quand même Adam Baldwin ! J'savais bien que cette gueule me disait quelque chose ! Alors du coup pareil, j'fais genre-j'sors-ma-science-grâce-à-Wikipédia. Adam Baldwin, c'est dans l'ordre d'arrivée Full Metal Jacket, Predator 2, Wyatt Earp, Independance Day, The Patriot, et... Chuck. Du lourd hin ! Grand acteur quand même !
Moi j'aime bien les Jack Bauer... Et pis c'est un Major en plus ce Casey. Ca claque ça, "Major", qu'on trouve. Casey, il est trop fort, quand même ! Il apprend à conduire un hélico en 10 secondes à Chuck par téléphone portable. Ca, c'est un sacré mec. Pareil pour Sarah, c'est une sacrée nénette ç'teu gonzesse, puisque c'est elle qui prend le relais dans le télé-enseignement-hélico-par-téléphone.
Mais Chuck, il est trop fort aussi en fait, parce qu'il réussit au final à l'conduire, ce bourrier d'hélico. "J'ai réussi !" d'ailleurs, qu'il répète. C'est bien une preuve qu'c'est vrai qu'il est fort. Non ? Nous, on trouve que si avec mon copain Jack.
Réactions à chaud !
On était pas tout seul à le regarder cet épisode. J'étais accompagné. "J'ose espérer que ça a été conçu au 28ème degré, sinon ça s'rait grave", qu'il dit mon vieux padre. "A mon avis ça va pas révolutionner le PAF hin !", qu'il poursuit. On dit pas PAF, on dit l'ORTF le vieux !
"Les doublages sont assez minables, mais ç'qui faudrait savoir, c'est est-ce-que le doublage se veut lui-même parodique ? Là ça s'rait destroy ! Mais si c'est fait au premier degré, c'est catastrophe", qu'il savate et uppercute, le vieux. Pas faux ceci-dit, mais bon, il approche la soixantaine, le padre. De là à dire qu'il est déjà sénile, je m'avancerai pas. Surtout parce qu'il va le lire, ça. "Salaud !", qu'il vient d'me dire. C'est de bonne guerre.
"Montage typique des séries téloches américaines", qu'elle ajoute la-fille-à-Patator-qu'est-monteuse-vidéo-en-CDI. Putain, moi j'ai balancé une p'tite centaine de lettres de motiv' en trois mois, et je finis à bosser gratos pour l'ORTF, que j'me dis. Ma situation craint un max même, que j'trouve. "L'éclairage est à chier, trop lumineux", qu'elle ajoute en experte. "Faut voir sur plusieurs épisodes, et en VO", qu'elle conclut.
Bon, on va lancer la mule alors...
"On ne chipote pas avec les chipolatas !" Et ça, c'est un ami-gai-luron à Chuck qui l'dit en fin d'épisode ! Et ça, pour conclure, c'est bien Jack-Punk aussi !
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